La grande réouverture – AIER

– 5 mars 2021 Temps de lecture: 3 minutes

La grande réouverture

Les lumières de la civilisation se sont atténuées et ont failli s’éteindre à partir du 12 mars 2020. C’était le jour où le gouvernement fédéral a commencé à promulguer des lignes directrices pour la fermeture des écoles, des entreprises, des voyages internationaux et de tous les rassemblements publics. C’était une action sans précédent, mais la plupart des États sont allés de l’avant – par ignorance, peur et folie.

À cette époque, il fallait énormément de courage et de ténacité pour résister à la manie qui prévalait, qui concernait un nouveau virus qui, selon la rumeur, ne ressemblait à rien de ce à quoi nous avons été confrontés depuis des générations. Les politiciens ont paniqué, et beaucoup de gens l’ont fait aussi. Irrationnellement, la croyance dominante était que le gouvernement pouvait nous sortir de la pandémie grâce à un niveau de contrainte qui perturbait des vies comme jamais auparavant.

Dès le début, même deux mois et demi avant les verrouillages, l’Institut américain de recherche économique a expliqué que ce serait un cours catastrophique. Depuis lors, vous en êtes venu à vous fier aux travaux de l’AIER en tant que guide essentiel de la science, des nouvelles que d’autres ne voulaient pas rapporter, et des arguments intellectuels en faveur du maintien du fonctionnement social et économique pendant une pandémie.

Notre travail a été discuté dans des milliers de lieux à travers le monde et vu par des dizaines de millions de personnes. Nous avons été confrontés à des diffamations, à la censure et à la dénonciation. Nous avons également été gratifiés par des tonnes de remerciements et un grand nombre de nouveaux membres et de bailleurs de fonds.

Un an plus tard, nous sommes ravis de voir les gouvernements répondre aux pressions du public pour s’ouvrir. Pas encore tous les gouvernements; cela viendra avec le temps. Mais certains États font de leur mieux pour réparer les énormes dommages qu’ils ont causés à la santé et au bien-être de leurs citoyens. C’est très bien et encourageant, mais il reste un problème. Les budgets gouvernementaux ont explosé. La Réserve fédérale imprime de l’argent comme un fou. Et les citoyens se bousculent pour sortir des états de verrouillage vers des états ouverts.

Nous avons encore une multitude de crises possibles devant nous. Nous ne pouvons pas savoir précisément quelle forme ils prendront. Le poids économique de la dette sera un frein à l’investissement privé et à la productivité. L’inflation est un risque majeur possible. Nous avons aussi une véritable crise du travail, avec un si grand nombre de personnes qui quittent le marché du travail pour s’occuper d’enfants qui ont été exclus de leurs écoles. Les lieux de culte à travers le pays ont brisé des communautés. Des industries entières, en particulier dans les arts et l’hôtellerie, sont détruites. Et les gens sont démoralisés.

Le rétablissement prendra des années, voire des décennies.

L’effort de reconstruction exigera autant de conseils intellectuels que nous en avons eu besoin au cours de l’année dernière. L’AIER s’est retrouvé dans une position de leader et cela persistera dans les mois et les années à venir. Notre nouvelle base d’audience et notre crédibilité pour avoir été si tôt et si correct à propos de cette pandémie ont créé cette opportunité pour nous.

Chez AIER, nous apprécions énormément votre soutien au cours de la dernière année. Nous écrivons, réalisons des vidéos, publions et organisons des événements. C’est vous qui dirigez notre influence. Vous avez partagé nos articles, tweeté et retweeté, posté le matériel que vous avez trouvé convaincant à vos amis, votre famille, vos camarades et associés d’affaires.C’est ainsi que nous avons fait passer le mot. C’est ainsi que les idées ont réussi à briser les terribles verrouillages. Les idées continueront à inspirer la réouverture et, surtout, à mettre en place des garanties pour que rien de tel ne se reproduise plus jamais.

Mes amis, nous sommes tous dans le même bateau. Et nous sommes tous des survivants, non seulement d’une pandémie, mais aussi d’une attaque sans précédent contre la vie, la liberté et la propriété. Utilisons nos droits récupérés pour construire un monde meilleur. Votre soutien à notre travail est ce qui nous permet de rester inspirés et de travailler pour la paix, la prospérité et la liberté. Nous faisons cela depuis 88 ans. Au cours de ces 12 derniers mois, l’AIER n’a pas seulement été un sanctuaire de vérité; cela a été un phare pour le monde.

S’il vous plaît, ne perdez pas espoir. Nous n’avons pas encore gagné mais regardez jusqu’où nous en sommes! Au printemps de l’année dernière, tout semblait perdu. Alors que le printemps revient, on nous rappelle à nouveau que l’histoire n’est rien de plus que ce que nous en faisons. Nous ne sommes pas ses victimes mais ses auteurs. Votre soutien à l’AIER est essentiel pour que la voix de la raison s’étende le plus loin et le plus longtemps possible.

La liberté reviendra!

Edward Peter Stringham

Edward Peter Stringham

Edward Peter Stringham est président de l’American Institute for Economic Research, professeur Davis en organisations économiques et innovation au Trinity College et rédacteur en chef du Journal de l’entreprise privée. Il est éditeur de deux livres et auteur de plus de 70 articles de revues, chapitres de livres et études de politique. Son travail a été discuté dans 15 des 20 plus grands journaux des États-Unis et sur plus de 100 stations de radiodiffusion, y compris MTV. Stringham est un invité fréquent sur BBC World, Bloomberg Television, CNBC et Fox. Rise Global classe Stringham parmi les 100 économistes les plus influents au monde.

Il a obtenu son BA du Collège de la Sainte Croix en 1997, son doctorat. de l’Université George Mason en 2002. Son livre, Gouvernance privée: créer de l’ordre dans la vie économique et sociale, est publié par Oxford University Press.

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